Accusations d'ingérence étrangère au Canada : un policier à la retraite accusé d'avoir aidé la Chine
Dans un développement surprenant, un policier à la retraite au Canada, William Majcher, a été arrêté et fait face à frais d'ingérence étrangère au Canada.
L'homme de 60 ans est accusé d'avoir utilisé ses connaissances et son vaste réseau de contacts au Canada. Pour obtenir des renseignements ou des services qui profiteraient à la Chine. Cette affaire est un cas rare où de telles accusations ont été portées contre un ancien agent des forces de l'ordre.
Détails des frais d'ingérence étrangère au Canada
Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), Majcher aurait aidé les efforts du gouvernement chinois pour identifier et intimider un individu au-delà de la portée de la loi canadienne.
Ces allégations constituent la base de la frais d'ingérence étrangère au Canada auquel Majcher est maintenant confronté. Si elles sont prouvées, ces accusations pourraient avoir de graves conséquences pour Majcher et potentiellement tendre les relations Canada-Chine.
Majcher est à la tête d'EMIDR, une société de cybersécurité basée à Hong Kong. Sa biographie révèle une longue et illustre carrière dans l'application de la loi, notamment en tant qu'expert en blanchiment d'argent.
Il a infiltré un important cartel colombien de la cocaïne et exposé des banques basées dans les Caraïbes créées par la mafia russe pour des activités criminelles. Cependant, les accusations d'ingérence étrangère en cours au Canada jettent une ombre sur ses réalisations passées.
Vous aimerez aussi: Programme de permis de travail avec visa H-1B : la stratégie réussie du Canada pour attirer les talents mondiaux
La procédure judiciaire
Majcher fait face à deux chefs d'accusation en vertu de la loi sur la sécurité des informations : "actes préparatoires au profit d'une entité étrangère" et également complot. Il a comparu devant un tribunal du Québec par vidéoconférence.
Majcher a pris sa retraite de la GRC en 2007. Et l'équipe intégrée de la sécurité nationale de la GRC a ouvert une enquête sur ses activités en 2021.
Les frais d'ingérence étrangère au Canada auxquels Majcher est confronté sont graves et pourraient entraîner des sanctions importantes. S'il est reconnu coupable.
Les accusations d'ingérence étrangère au Canada contre Majcher s'inscrivent dans le cadre d'allégations plus larges selon lesquelles la Chine aurait tenté de se mêler des affaires canadiennes. Et développé un réseau sophistiqué d'interférence électorale à travers le pays.
Les chefs de l'opposition ont fait pression pour une enquête publique sur les tentatives présumées de la Chine d'influencer les résultats de deux élections fédérales.
De plus, ces allégations ont provoqué des troubles politiques et soulevé des questions sur l'intégrité du processus électoral du Canada.
Le responsable nommé par le premier ministre Justin Trudeau pour enquêter sur les allégations a initialement déclaré qu'aucune enquête publique n'était nécessaire.
Mais a démissionné peu après suite à des allégations de partialité. De plus, les partis fédéraux négocient actuellement l'opportunité d'ouvrir une enquête publique.
L'issue de cette affaire et l'enquête plus large sur les accusations d'ingérence étrangère au Canada pourraient avoir des répercussions importantes sur les relations du pays avec la Chine et son approche de la sécurité nationale.